Gaston –
Travailler comme une prière
Concilier foi et travail nous pousse généralement à nous demander de quelle manière rendre explicite, ou non, notre éventail de convictions. Cette question, Gaston ne se l’est même pas posée. Sa foi l’accompagne de manière si dense, si proche…Elle ne s’encombre pas de grandes théories. Accepter d’être utilisé pour de modestes besognes, c’est un exercice qui peut être vécu dans la patience. Prendre le temps d’accompagner les plus jeunes, les moins expérimentés, c’est l’occasion de remercier Dieu des opportunités de boulot qui se sont invitées sur le chemin. Au pied du mur, on reconnaît le maçon : celui qui s’applique à peaufiner ses joints, et à lutter contre la fatigue. Parce qu’au final, il sait qu’un travail bien fait entraînera fierté et reconnaissance.
Christelle –
Une bienveillance quotidienne
Dans la famille, ce sont des matheux. Chez eux, on joue avec les chiffres, on jongle avec les institutions. Un quotidien qui, vu de loin, pourrait sembler abstrait et un peu rébarbatif. Sauf que pour Christelle, habiter son travail relève de l’évidence. Voire de l’exigence. D’abord parce que derrière les chiffres, il y a des personnes, des réalités, des parcours de vie qui ne peuvent se contenter de tiroirs dans lesquels les ranger. Parce qu’au-delà des codes et des rubriques comptables, il y a ces fameuses ressources humaines qui disent bien mal la diversité des situations personnelles et professionnelles. Son travail, Christelle a choisi depuis toujours de lui offrir du sens, et d’en faire le lieu d’une disponibilité envers chacun. C’est peut-être là que sa foi transparaît : dans les plus petits des gestes de bienveillance offerts à ses collègues, à ses amis, aux inconnus des transports en commun.
Stéphane –
Défendre la paix
Le Dieu des chrétiens n’est pas celui de la violence. Et nous sommes tous appelés à devenir artisans de paix. Comment dès lors comprendre que même les forces armées disposent d’une aumônerie ? Comment saisir l’étrange paradoxe de chrétiens engagés dans l’Armée ? Lire la suite
Sophie –
Choisir son regard
Face à l’âge ou la maladie, l’humain répond par la compassion, l’empathie, le sourire. Devant l’inévitable, c’est la constance qui prime. La joie aussi. Pour Sophie, s’occuper de patients en service d’oncologie n’appelle pas de mérites particuliers. La détresse connaît de multiples formes, et vouloir les hiérarchiser ne mènerait à rien. Reste que face à la décrépitude des corps et des esprits, il faut rester solide, et maintenir le cap. Savoir rester proche, tout en cultivant une nécessaire distance. Pour que l’émotionnel ne prenne le pas sur les urgences médicales, pour ne pas porter la souffrance de l’autre jusqu’à l’épuisement. Lire la suite
Mélanie : Une foi à redécouvrir
Mélanie étudie la théologie. Sa foi la rend heureuse., elle nous partage un peu du bonheur qu’elle a de croire avec les plus jeunes.
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Vivre sa foi : une chance ?
Arber a 26 ans et vient d’Albanie. Lorsqu’il était encore un enfant, sa famille est arrivée en Belgique. Il parle de sa foi comme d’une chance inouïe dans sa vie…
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Reprendre pied en terre inconnue
Marius et Narcissa
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Prendre du temps hors du temps
Marie-Thérèse, partage son temps entre le monde hospitalier et des temps de ressourcement centrés sur sa communauté (L’Arche Bruxelles), ses amis et des moments de silence. Amoureuse de silence, elle l’est aussi des monastères.
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À 50 ans, apprendre à apprendre !
Gabrielle, 50 ans, professeur de religion et …
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Le mariage, une belle aventure
René et Renée, mariés depuis plus de 25 ans. Ils ont trois enfants, aiment les placettes méconnues de Bruxelles, et sont toujours amoureux.
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