Une présence qui ouvre à la joie

De la violence qui surgit suite la mort d’un conjoint, on garde toujours des traces, des blessures. Et parfois, le sentiment d’une présence qui continue d’accompagner, de soutenir, les membres d’une famille meurtrie. Et il arrive que, le temps aidant, la blessure se panse peu à peu. Monique nous partage ici son expérience.
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